mardi 29 septembre 2009
Toujours comme un lundi
lundi 28 septembre 2009
Comme un lundi
dimanche 27 septembre 2009
Etre et avoir été
jeudi 24 septembre 2009
Mutants et mutantes
LA, j'arrête net mes activités et je file à l'étage. Si une poule déguisée en araignée fait son mariole dans ma maison, je tiens à voir ça. Et si c'est une araignée qui se cache derrière un déguisement de poule, manifestement, elle s'est quand même fait repérée par Pomponnette ... la patte velue qui dépasse, un truc du genre, vraiment, c'est ballot de sa part.
mercredi 23 septembre 2009
service public
mardi 22 septembre 2009
L'affreux
Entre deux rives
dimanche 20 septembre 2009
Vite dit
samedi 19 septembre 2009
Les deux ans de Natourelle

vendredi 18 septembre 2009
soupirs
mercredi 16 septembre 2009
Soupirs et tremblements
Après plusieurs mois de stage d’immersion dans l’univers de la guérilla sauce Pomponnette, elle a su en faire une analyse critique des forces et des faiblesses. Analyse qui la conduit tout naturellement à nous proposer une voie originale et tout à fait convaincante. Enfin, disons qu’elle est très convaincue :
Elle a donc dit résolument « oui » à l’approche développée avec beaucoup d’art par Pomponnette, consistant à émettre un pleur larvé pour précéder toute demande. Chez Natourelle, cela se limite à ses demandes alimentaires (ce qui, disons le tout net, correspond à 90% de ses exigences). Manifestement, elles ont l’air de croire que c’est une sorte de formule de politesse qui me permet d’apporter une attention bienveillante à la requête. C’est une grave erreur de jugement !! Je déteste !!!! En fonction de la réponse apportée, le niveau sonore des pleurs passe de 3 à 20 sur une échelle de Richter de 10 (et où, déjà à 7, le parent grille une durite ET un tympan).
En revanche, elle a profondément modifié l’approche « post-non » (hors demande culinaire toujours) de sa sœur. Pomponnette, au moindre refus, brandit avec vigueur et énergie l’étendard de l’injustice, de l’enfance bafouée, de l’imagination enfantine foulée au pied. Elle s’oppose, affronte, mène un combat de titan perdu d’avance (car quoi qu’elle dise, je ne suis peut-être pas la plus forte des mamans, mais face à elle j’ai encore des ressources) et avance argument contre argument (c’est pas drôle, c’est injuste, pourquoi moi) jusqu’à épuisement de l’ensemble des belligérants. Je la verrai bien avocate un jour (avocate des causes perdues bien sûr), ou bien lobbyiste … ou bien syndicaliste (Oh mon Dieu …….). Natourelle, elle, sourit toujours. Vous écoute, vous assène son « ouéééééééééé » ravageur, tourne les talons et continue à suivre son petit bonhomme de chemin, monte sur sa chaise face à l’escalier qui déroule à ses pieds et lance les bras levés son cri de guerre « sauuuuuuuuuute ». Vous auriez parlé en cyrillique, c’était pareil. Vous vous époumonez à ces côtés pendant 10 minutes « Natourelle, non » … « Natourelle, j’ai dit NON » … « M’ENNNNFIN, Natourelle, qu’est ce que maman a dit là !!! », et elle de vous répondre « je sais pas » ! Voilà ! En toute innocence, et certainement en toute sincérité. Elle n’a rien écouté de vos vociférations. Vous avez explosé le compteur de l’échelle susmentionnée … mais elle n’a tout simplement pas entendu. Formidable ! Alors vous la prenez entre 4 yeux (comme elle dit Supper Nanny), vous lui expliquer qu’essayer d’escalader la barrière posée devant l’escalier n’est pas la plus judicieuse des idées qu’elle a eu et que quitte à faire des roulé boulé on pourrait trouver un environnement plus sécurisant pour ça. Et là, elle vous regarde, et elle soupire. Tout simplement. Le petit « pffuiiiiiiit » qui dit tout ce qu’il à dire. Que j’imagine parfaitement dans la bouche de l’adolescente qu’elle va devenir et qui vous relègue en un rien au rang de l’emmerdeuse insécure. 96 cm et même pas encore 420 jours au compteur, et déjà elle vous signifie la déception que génère votre attitude de naze, genre « avec toi, on peut jamais rien faire d’un peu marrant » !
Voilà ! ça c’est du grand art. Déplacer le combat sur un terrain nouveau et mouvant, déstabiliser l’adversaire habituée aux guerres de tranchées et à la redoutable efficacité du panzer ! J’ai pas vraiment vu le coup venir !
Vite, je file en stage de mise à niveau pour être « up to date ». On va faire une reunion au sommet autour de la machine à café … entre maman !!! Pas question de me laisser larguer par une troufigniasse qui porte des couches ! naaaaaaaaaaaan mais !!!
lundi 14 septembre 2009
non cumul des mandats
dimanche 13 septembre 2009
Un petit week-end tranquillou
- faire les courses avec les filles. Non pas que j'adore m'enquiquiner la vie avec les filles en course, mais cette fois-çi, je n'avais pas vraiment le choix. Du jeudi midi au vendredi après-midi, tout le gratin comptablo-financier du Groupe était chez nous ... alors autant vous dire que m'éclipser pour faire mes courses n'était même pas imaginable. D'autant que le grand chef a été absent pendant la moitié du temps et que j'ai dû joué les Madame Loyale ; Arrivée donc vendredi soir un tantinet sur les genoux, avec le frigo vide. Samedi, il a donc fallu faire la virée chez carrouf, avec une Pomponnette pleine d'énergie et d'espièglerie (me rajoutant des pèches dans le sac de poivrons, réclamant avec force énergie des céréales en promotion) et une Natourelle au top de sa forme, croquant (quand j'avais le dos tourné) dans les fruits et légumes qu'elle arrivait à attraper. Une heure à ce rythme et vous ressortez claquée ;
- ranger les courses, faire le repas, avec une Pomponnette pas vraiment motivée et une Natourelle motivée pour deux (allez maman, alllleeeeeez) ;
- squizzer la sieste (dont on rève) pour monter l'étagère de Pomponnette arrivée la vieille et que cette dernière voulait que je monte dès vendredi soir. Se battre contre une Pomponnette pas du tout motivée pour faire ladite sieste. Est-ce que mes coups de marteau y sont pour quelque chose ?
- installer l'étagère (avec force perceuse et menaces auprès des deux louloutes très très intéressées par mes outils ... mais moi je ne partage pas !!) ;
- Profiter du vent et du soleil pour laver (enfin, lancer la machine), étendre, desuspendre ;
- faire une promenade avec les filles, là, juste derrière la maison où il y a un champ, une petite barrière en bois si attirante pour deux petites filles et pour une Pomponnette insécure. Elle aimerait bien que maman l'aide, et lui fasse passer la barrière par le haut. oui, mais maman préfère encourager et expliquer. Et finalement, elle y arrivera et sera tellement fière d'elle ! Natourelle aussi voudrait bien passer par dessus, mais elle est bien trop petite. Et il faut bien aussi montrer à Pomponnette tous les avantages qu'il y a à être grande !
- doucher tout ce petit monde, et zip et zap et plif et plaf, deux gros tsunami dans 20 cm d'eau. Mettre les filles au lit, rincées jusqu'aux cheveux, le ventre plein d'un bon petit biberon chaud !
- se lever le dimanche matin au son du clairon "MAMAAAAAAAAAAAAAANNNNN, on est REVEIIIILEEEEEEEEEEEEE" ; se rendre à l'évidence que l'absence de râlements de Pomponnette vendredi matin au sujet du bol et de la paille n'était qu'un simple oubli de sa part et non pas l'acceptation de cette forme sophistiquée de torture ;
- petit-déjeuner, se laver et s'habiller au pas de charge pour charger la voiture et filer à la déchetterie la voiture pleine comme un oeuf (au moins on sait pourquoi on y va) ;
- rentrer à la maison pour me lancer dans la confection de mon couscous avec une Natourelle aux aguets et une Pomponnette ... circonspecte ;
- tenter tant bien que mal de faire avaler ce fameux couscous (mais bien sûr qu'il était fameux ! j'en ai même repris deux fois) à mes deux louloutes pas très emballées (pas facile d'être une cuisinière comblée) ;
- squizzer la sieste pour avancer dans la tenue de mes comptes (un retard pareil pour une comptable, c'est limite malédiction !) ;
- profiter du beau temps pour emmener les filles dans le jardin et leur proposer un jeu super sympa : aider maman à ramasser les pêches : pas de candidats pour mon jeu, mais plutôt des enfants intéressées par le toboggan. Pendant que ça glisse en rigolant, Maman ramasse seule les péches. Coupe les branches. Scie les branches. Ramasse et débite les branches. Range les branches. Cette fois les portes du jardin sont bien fermées et la barrière de l'escalier également ...
- se lancer dans le repassage en attaquant une montagne qui ne semble jamais se réduire ... saleté de repassage !
- Recommencer les ablutions des deux déesses, avec les mêmes résultats que la veille : de l'eau, de l'eau et encore de l'eau ;
- se battre avec les filles pour le repas mais finalement réussir à contenter tout le monde (un miracle ... oui, un miracle).
- réussir à les coucher avec un minimum d'efforts en rappelant à Pomponnette que ... demain ... il y a école ... on prend les devants ... si on pouvait se battre tout de suite ... je gagnerai du temps pour demain matin ... si ? nan ? tant pis !
Alors ... oui, il est probable que je sois un peu fatiguée ... mais de là à parler de grippe porcine ...
mercredi 9 septembre 2009
Pandémie .. et si elle était déjà là ?

lundi 7 septembre 2009
Famille de rats
dimanche 6 septembre 2009
spleen du dimanche soir
Tag et compagnies

samedi 5 septembre 2009
Un esprit sain dans un corps sain
vendredi 4 septembre 2009
Comme un vendredi
D'abord, une matinée augurant les longues et poilantes matinées d'hiver que je vais passer avec Pomponnette chaque fois qu'il s'agira de se rendre à l'école : "A l'école cole cole cole - je ne veux pas y aller maman - Apprendre ne m'interesse pas - je préfère jouer à la maison" telle est la rengaine de Pomponnette. Chaque étape qui nous rapproche du moment du départ et donc un challenge à soit tout seul, qu'il me faudra relever chaque matin : se lever, prendre le petit déjeuner, s'habiller, mettre les chaussures. J'ai appris incidemment ce matin qu'à l'école, il n'y a pas assez de jouets ! Comme si c'était l'objectif pédagogique principal ! Allez, voyons le bon côté des choses : En comparaison, les problèmes de bureau me paraissent d'un fade !!! Et pourtant, à peine arrivée dans la classe, Pomponnette disparait sans me dire au revoir et sans se soucier de mes états d'âme (après tout, je pourrai en avoir aussi, non mais !!!). Commence alors pour moi la rude tâche de début d'année consistant à essayer de repérer des têtes d'enfants, de mettre un nom sur leur visage (en zieutant par dessus leurs épaules le prénom écrit au dessus de leur porte -manteau) ... vu que pour cela, je ne peux pas vraiment compter sur Pomponnette qui mélange avec finesse fausse vérité et vrais mensonges pour me faire perdre le fil : "mais finalement, Pompon, il est dans ta classe ou pas ??? j'ai pas vu son prénom moi !" "mais bien sûr qu'il est dans ma classe" !! "t'es sûre ?" "chai pas". J'enrage ! je vais encore devoir attendre la réunion parents-profs pour en savoir plus ... et les vacances de la Toussaint pour me jeter sur le cahier d'activité que les maitresses daignent nous remettre provisoirement pour tous ceux qui, comme moi, n'avons aucune idée de ce que glandouillent les gamins à l'école !!! à part "rieeeeeeeeeeen" ou "je sais paaaaaaaas", bien sûr ! Parce que, même quand Pomponnette joue à la maîtresse, je n'ai aucun indice ! Elle passe alors son temps à "m'envoyer" les gamins-en -semblant qui sortent de la sieste ou changent de groupe .... à croire que l'école aujourd'hui, c'est un puissant apprentissage de la théorie des ensembles !
jeudi 3 septembre 2009
Un bon en avant
