Il n’y a pas à dire, les stroumpfs n’ont pas la reconnaissance du ventre chevillée au corps. A moins que ce soit l’efficacité redoutable de mon programme éducatif qui soit en œuvre, auquel cas, bien sûr, je retire tout ce que je vais écrire :
Afin de donner à Pomponnette et Natourelle tous les atouts possibles pour affronter avec calme et détermination la jungle affective qui les attend, je travaille à les aider dans le travail de séparation. « se séparer pour mieux grandir » de Marcel Ruffo est un bon livre de chevet. Quand, en plus, on sait qu’elles n’ont plus leur papa et que je suis, pour l’instant, l’unique objet parental de leur affection quotidienne, on comprend que j’y accorde une certaine importance.
Ainsi donc, parmi les sujets sur lequel je reste tout à fait ferme, il y a le sujet du lit des parents versus celui des enfants. Même si maman a un grand lit pour elle toute seule, c’est son lit et elle en fait ce qu’elle veut … et notamment, les petits loulous n’y sont pas admis. Sauf éventuellement le dimanche matin, pour rigoler avant de descendre déjeuner. Walla. Ça marche sur ce credo depuis leur naissance, et même si Pomponnette a posé quelques questions sur le pourquoi de cet état de fait, elle respecte plutôt bien.
Hier soir je suis allée la coucher. Comme elle râlait de devoir encore dormir (truc qu’elle trouve positivement assommant, pas du tout glamour et beaucoup trop long), j’ai posé ma tête à côté d’elle sur son oreiller.
-« mamaannnnn, qu’est ce que tu fais ? Pousse ta tête de là !!!
- « et bien je voulais te faire un câlin en fait …»
- « oué … bon …. SMACK … voilà, c’est fait, maintenant tu pousses ta tête, c’est mon lit. Si tu veux dormir, tu as TON lit».
Congédiée la maman !!!
Efficace la séparation non ?
Afin de donner à Pomponnette et Natourelle tous les atouts possibles pour affronter avec calme et détermination la jungle affective qui les attend, je travaille à les aider dans le travail de séparation. « se séparer pour mieux grandir » de Marcel Ruffo est un bon livre de chevet. Quand, en plus, on sait qu’elles n’ont plus leur papa et que je suis, pour l’instant, l’unique objet parental de leur affection quotidienne, on comprend que j’y accorde une certaine importance.
Ainsi donc, parmi les sujets sur lequel je reste tout à fait ferme, il y a le sujet du lit des parents versus celui des enfants. Même si maman a un grand lit pour elle toute seule, c’est son lit et elle en fait ce qu’elle veut … et notamment, les petits loulous n’y sont pas admis. Sauf éventuellement le dimanche matin, pour rigoler avant de descendre déjeuner. Walla. Ça marche sur ce credo depuis leur naissance, et même si Pomponnette a posé quelques questions sur le pourquoi de cet état de fait, elle respecte plutôt bien.
Hier soir je suis allée la coucher. Comme elle râlait de devoir encore dormir (truc qu’elle trouve positivement assommant, pas du tout glamour et beaucoup trop long), j’ai posé ma tête à côté d’elle sur son oreiller.
-« mamaannnnn, qu’est ce que tu fais ? Pousse ta tête de là !!!
- « et bien je voulais te faire un câlin en fait …»
- « oué … bon …. SMACK … voilà, c’est fait, maintenant tu pousses ta tête, c’est mon lit. Si tu veux dormir, tu as TON lit».
Congédiée la maman !!!
Efficace la séparation non ?
Je ne me lasserai pas de la répartie de tes filles je crois. Et de la façon merveilleuse dont tu le racontes :)
RépondreSupprimerLa repartie est un truc de famille chez nous. Je laisse donc ce trait de caractère s'exprimer chez mes filles ... tout en essayant ... quand même ... de leur expliquer qu'il y a un pas à ne pas franchir entre répartie et insolence ...
RépondreSupprimerc'est là où c'est le plus sport !!!